ok.– est une marque culte, et compte de nombreux adeptes, surtout parmi les jeunes consommateurs. C’est la raison pour laquelle les personnes en formation chez Valora participent à la décision, lorsqu’il s’agit de savoir quels produits seront placés dans les rayons sous la marque ok.–. En dix ans de marque ok.–, de nombreux articles phares ont permis à la marque de faire la différence.
Valora a décidé d’aborder le segment des jeunes clients au moyen d’une marque propre. C’est pourquoi elle a lancé en 2009 la boisson ok.– energy drink classic et sa campagne insolente «ist voll ok.–» (c’est ok.–). Ce fut un succès: en un an, il a été possible de développer massivement l’offre et quelque 50 articles food et non-food du quotidien étaient proposés. Ces produits devaient être les plus simples possibles et représenter un rapport qualité/prix équitable. Ainsi, un ok.– energy drink classic coûtait un franc, c’est-à-dire environ 70% de moins que les produits de marque comparables.
Tout le monde connaît la boisson ok.– energy drink
Ce concept simple et clair est devenu un succès, par seulement en Suisse mais aussi en Allemagne, au Luxembourg et en Autriche. Et le premier produit, d’ailleurs le plus apprécié depuis toujours, le ok.– energy drink, ne coûte toujours qu’un franc actuellement. On trouve par ailleurs quelque 30 autre produits proposés sous la marque ok.–. Parmi ceux-ci, des boissons telles que de l’eau ou du thé glacé, des en-cas tels que des noix ou des fruits secs, les délicieux sacs de bonbons et des objets du quotidien comme des parapluies en différentes couleurs.
En plus de tous ces produits ok.– couronnés de succès, il y a eu dans le passé un ou deux flops ou des idées de produits mal accueillies par les clients. Parmi eux, le king coco & ice tea ou, tout au début, des articles de ménage tels que des détergents pour le sol ou un shampoing. Ces derniers furent rapidement supprimés de l’assortiment. Car la marque
ok.– était synonyme de produits à usage immédiat et le shampoing n’y avait plus sa place. Même si le concept implique totalement l’ambition de tester des nouveautés, le développement et le lancement des produits sont basés sur un processus clair.
Les personnes en formation chez Valora testent les produits
Il faut généralement environ six mois avant qu’un produit soit placé dans les rayons sous la marque ok.–. Au début, il y a une idée. Elle peut émaner des collaborateurs des points de vente Valora, qui constatent des besoins particuliers de leurs clients. Toutefois, les spécialistes Valora se déplacent également en personne pour sonder le marché, dans le cadre de salons ou à l’étranger. Enfin, des données internes de Valora révèlent également quels produits font l’objet d’une forte demande, ou si les préférences des clients évoluent. Ensuite, le Category Management examine l’idée concrète et évalue les éventuels fournisseurs.
Puis, les produits sont testés et évalués en interne. Dans ce contexte, les personnes en formation chez Valora ont un rôle très particulier. Ce sont en effet les représentants de la cible des jeunes, et elles savent intuitivement ce qui va marcher ou non. L’excellent rapport qualité/prix de la marque ok.– est un facteur important de son succès. Valora ne produit pas elle-même ses articles. Elle collabore avec des fournisseurs choisis.
Des partenariats crédibles
La marque ok.– s’est toujours distinguée par des mesures de communication créatives, ce qui a certainement contribué à son statut de marque culte. Les témoignages crédibles et un sponsoring ciblés revêtent également leur importance. Ainsi, depuis février 2016, ok.– prend très à cœur les causes du FC St. Pauli. Une association culte qui soutient par ailleurs et réalise de nombreux projets sociaux pour lesquels Valora s’engage aussi avec ok.–. Depuis avril 2017, la joueuse de tennis Belinda Bencic est ambassadrice de la marque ok.– en Suisse.
Photos: Noë Flum / Vidéo: compresso